Inaccessible étoile .

salut la compagnie ,

je me permet très humblement d'oser vous demander si éventuellement , par hasard , il y aurait comme une Tite place pour moi dans votre grandissime demeure .
J'imagine bien ô combien vous êtes vieux , vieilles et sages , vous grands héritiers de la cité de Fornost perdue a jamais dans ces âges lointains et combien vous allez me regarder de haut , moi pauvre novice sans expérience.
Mais voilà , même dans vos traces anciennes , je sens encore la bravoure des capitaines , la justesse des sentiments des elfes et l'haleine fétide des nains de la compagnie.
Je vois Iriwen et Niennarwen chevauchants , telles 2 ombres diaphanes et superbes, leurs montures agiles . La lueur est fragile , je tends la main, elle disparait. Je ne vois plus que cette étoile en miroir dans et au dessus de ce lac dans lequel je voudrais me perdre . C'est ainsi que l'on me parla de ces lumières elfiques .
Je m'égare , mais voilà , je me verrai bien sur les traces de ces muses . Alors le vieux ouistiti que j'étais ( indice .. )... devient jeune loup a l'affut de nouvelles aventures .

IG : jeune elfe GDR niv 15 ce jour .
IRL : pas jeune du tout , 42 voire plus , vivant prés de ses ânes en Ardèche .

je sais plus ce qu'il faut ajouter, z'avez des idées ?
Le bonjour a Zehir ... he he .
Z'avez pas vu nya... , euh non personne.

pas menestrel , pas lais et baumes à la fois , mais je soigne les runes , atchoum.

Je prends conscience de l'hermétitude de mon propos mais bon .. on se refait pas . Juste euh , bises et j'espère à bientôt 0.

(LE dresseur d'ânes !)

Oh ?! Entrez donc et venez prendre une tasse de thé ? un café ? Non, Petronille, pas de bières à cette heure là !

Racontez nous votre histoire !


Oh, vous savez, Iriwen chevauche toujours ... Elle a juste quelques rides en plus !

Que devient ce bon Fargrim ?

(Contente de te revoir ici, vieux ouistiti ! )

salut vieux méné, c'est sympa de te revoir ramener ta viole dans le coin...voire mieux si affinités ! A bientôt, donc.

Alors là ...

Je chevauche jour et nuit mon petit bonhomme, quand on aime, on ne compte pas. Nienn par contre, elle se repose mais Petronille a pris la relève.
Quelle bonne surprise de voir que tu as pensé à nous, ça fait vraiment plaisir. C'est donc les bras grands ouverts que nous t'acceuillons à nouveau.

Saches que j'ai imposé une discipline de fer aux Libres Compagnies. Nous ne sommes pas là pour rigoler mais pour gagner la guerre. Je pourrais te dire ce que je veux, le mieux est que tu testes toi-même et que tu retrouves les vieux de la vieille qui sont toujours sous notre toît.

Nyarbou ? J'ai essayé de reprendre contact avec elle la voyant parfois présente, je te raconterai.
Zehir ? Je te raconterai.

Je te contacte dès que je te vois dans les parages.

Bises elfiques.